J'arrivai dans la baie d'Illusia, quand je vis le port, il groullait de monde, des marchands et quelques soldats de la marine. J'attacha mon bateau aux quais, puis descendis la cargaison. Aussitôt des gens se mirent à venir, puis bientôt le stock de la calle était vide. Mais j'avais avec moi plusieurs centaine de berry. Je descida d'aller au bar le plus proche. J'entra dans le bar, aussitôt un silence pesant tomba. Je m'approcha du comptoir, commanda une bière et alla m'assoir tout au fond de la salle pour etre seul. Je bu ma bière tranquillement, en regardant par la fenetre. Puis en retournant en chercher une autre, je pris le journal. A la une était marqué en gros: ENCORE UNE VICTOIRE POUR LA MARINE, CELUI QUI LES FERA TREMBLER N'EST PAS ENCORE ARRIVER. Je dessidai de lire l'arcticle. Il disait que la marine avait attaqué Magantile pour arreter l'homme qui avait oser tuer le baron. Il parlait aussi de la défaite des bandits, tous morts, la marine n'avait pu faire aucun survivant, les hors-la-loi se serait senti perdu et se serait suicider ou alors aurait tenter des actes fou. Par contre, le nombre officiel de morts n'y était pas, ni le fait que le contre-amiral soit mort. Enervé, je bu ma bière d'un seul coup, puis lança le verre par terre. Je sorti, marcha vers aucune destination précisement, je ne pouvais pas croire que mes amis étaient tous morts ou c'étaient donnés la mort. Je marchais, sans voir les gens, tout à coup je bouscula quelqu'un.
-Excusez moi, je ne regardais pas se que je faisais, dis-je.
-Non c'est moi qui m'excuse, je n'avais qu'a faire attention.
-Où allez-vous ?
-Je ne sais pas, j'irai où le vent me portera.
Tout à coup des soldats arrivèrent vers nous en courant.
-Déjà ! dis l'homme en rigolant.
-Qu'as tu fais ?
-Au trois fois rien, j'ai tuer un mec dans la rue juste parce qu'il m'avait poussé, comme toi en fait. Mais ne t'inquiète pas, je sais qui tu es et je ne suis pas fou, Ange Noir !
Les soldats se préparent à ouvrir le feu. Nous nous cachames dans la foule, qui fuyait. Les soldats ne pouvais donc pas tiraient. L'homme à coté de moi sauta, il d'envola assez haut. Quand il retomba, il fit un trou assez gros dans le sol, mais les soldats étaient morts.
-Comment as-tu fais ça, et qui est tu d'abord ?
-Nous parlerons de tout ça plus tard, nous devons d'abord nous barrer, les marines vont nous poursuivre.
-Ok, viens au port j'ai un bateau.
Nous partiment donc en direction du port en courant. Les soldats arrivaient dans l'autre sens. Je sorti mon sabre, et me confronta à eux pendant que mon équipier donnait des coups de poing, d'une force plutôt inimaginable. Les soldats étaient mis hors d'état de nuire assez facilement. Nous arrivions au port assez rapidement, sautèrent dans le bateau et coupèrent les cordages. Nous priment donc la mer. Je pus alors demandais à l'homme qui il était.